Ce 2 septembre 2024, le Conseil supérieur de la communication (CSC) a sacrifié à la traditionnelle montée des couleurs.
Comme à chaque premier lundi du mois, le Collège des conseillers et le personnel administratif ont à l’unisson chanté en chœur le Ditanyè, l’hymne national.
Après le cérémonial, le patron de l’instance de régulation, Monsieur Wendingoudi Louis Modeste Ouédraogo a invité ses collaborateurs à observer une minute de silence pour honorer la mémoire des victimes de l’attaque de Barsalogho. Selon lui, cet événement ne doit pas nous décourager. « Même étant loin du théâtre des opérations, nous devons réaffirmer de plus notre engagement à lutter contre ce fléau qu’est le terrorisme », a-t-il dit. Dans ce combat pour la libération de notre pays, Monsieur le Président estime aussi que le CSC a un rôle important à jouer. Pour se faire, dit-il, la nouvelle vision de l’institution, « Amorcer ensemble une régulation ambitieuse de la communication et des médias », doit nous permettre d’entreprendre des actions pour davantage accompagner les initiatives du gouvernement en matière de développement socio-économique de notre pays et de lutte contre le terrorisme.
Saluant le travail déjà abattu par ses collaborateurs, Monsieur Ouédraogo les a exhortés à garder le cap. Il a aussi indiqué que des réflexions sont en cours, en vue de trouver des solutions pour améliorer leurs conditions de travail.
DCRP/CSC